There was not statistical association between the presence of complications and some variable in particular. The rate ofpostoperation side effects was 1.22%%, And half of these patient presented postoperatory bleeding. Adenotonsillectomy single or associated to other surgeries took place in 54,2% of the cases. Results: 58% of enrolled patients were males with age average of 8.4 ☖.2 years. In bivariate analysis, chi square and t-student were used. Averages, standard deviation and proportions were used. Analysed date included sex, age, type of conducted surgery, type of complications and the period of time in which patients were discharged. Material and method: Date from 815 who underwent Otorrinolaringologic surgery carried on a major ambulatory surgery basis in Hospital Santo Tomás de Limache, between 20 where retrospectively reviewed. Aim: To know teh results in patient underwent Otorrinolaringologic surgery in a low complexity hospital. Conclusions: Major ambulatory surgery In selected patients who need otorrinolaringologic surgery in a low complexity hospital is safe with low rate of complication.īackground: Major ambulatroy surgery provide to public health and efficient and high quality model. The rate of postoperation side effects was 1.22%, And half of these patient presented postoperatory bleeding. Adenotonsillectomy single or associated to other surgeries took place in 54.2% of the cases. Results: 58% of enrolled patients were males with age average of 8.4☖.2 years. Date from 815 who underwent Otorrinolaringologic surgery carried on a major ambulatory surgery basis in Hospital Santo Tomás de Limache, between 20 where retrospectively reviewed. Material and methods: Retrospective descritive study. Aim: To know the results in patient underwent Otorrinolaringologic surgery in a low complexity hospital. Introduction: Major ambulatory surgery provide to public health and efficient and high quality model. L’augmentation significative de la consommation de morphine en présence des parents peut soulever la question de la gestion de la douleur et de l’anxiété post-opératoires de l’enfant, d’évaluation difficile. Le stress, la fatigue et la gêne auto-évalués par les soignants ne semblaient pas corrélés au niveau sonore moyen.Ĭonclusion : Le niveau sonore en SSPI pédiatrique était largement supérieur aux niveaux recommandés. Les sources de bruit principales étaient les pleurs des enfants et les conversations du personnel. En revanche, on observait une augmentation significative de la consommation de morphine (p = 0,0003). Il n’y avait pas de réduction significative du niveau sonore en présence des parents, ni du temps de passage en SSPI. Résultats : Le niveau sonore moyen en SSPI pédiatrique était de 65,4 ± 1,8 dB(A).
Une auto-évaluation des conditions de travail a été réalisée par les soignants. Les paramètres secondaires étaient la variation du niveau sonore maximal, du temps de passage en SSPI et de la consommation de morphine. Le paramètre principal était la variation du niveau sonore moyen. Le niveau sonore a été mesuré en l’absence puis en présence des parents. Étude prospective, monocentrique en SSPI pédiatrique au CHU de Rouen. L’objectif de notre étude était de mesurer le niveau sonore en SSPI pédiatrique, et d’évaluer l’effet de la présence parentale sur ce dernier. Aucune mesure n’est disponible en SSPI pédiatrique. Le niveau sonore en Salle de Surveillance Post-Interventionnelle (SSPI) est fréquemment supérieur aux niveaux recommandés.